Gestion de templates et de best practices d’architecture
Rôle(s) Clé
Objectifs
Bénéfices
Une bonne pratique reconnue dans le monde du Cloud est de définir les templates et des best practices d’architecture afin d’éviter aux équipes de développement de réinventer la roue et de reproduire les mêmes erreurs. Cela permet aussi de sécuriser le provisioning en établissant des configurations répondants aux exigences de sécurité et de compliance de l’entreprise.
Voici quelques aspects auxquels penser :
Niveaux de service
La définition de différents niveaux de services lorsque c’est possible afin d’offrir au business une flexibilité accrue mais aussi plus d’adhérence entre le besoin et le coût.
Prenons l’exemple d’un produit à 3 niveaux avec plus ou moins de "features" couvertes pour un prix différent. Ne payons pas le prix "premium" lorsque l'offre "basic" suffit !
Stratégie de résilience
La définition de stratégies de résilience qui soient adaptées aux exigences des applications mais dans le même temps optimisées.
Prenons l'exemple d'une application ayant besoin de 30 VMs minimum qui tournent en permanence.
Le setup 1 réparti sur 2 zones de disponibilité et le setup 2 réparti sur 3 zones couvrent le même besoin en terme de résilience mais le setup 2 fait tourner 45 VMs en permanence au lieu de 60, soit 25% de moins !
Options de déploiement
La définition de templates limitant les options de déploiements afin d’offrir à la fois plus d’agilité et plus de contrôle.
On peut prendre l’exemple de frontend préconfiguré, de backup pré-sécurisé ou encore d’instances pré-renseignées (tags, groupes de sécurités, tables de routage, etc…).
PaaS First
L'idée ici est de proposer des services utilisant au maximum les services PaaS Comme les managed databases, les fonctions lambda, les services de conteneurisation, etc.
Vous l’aurez compris, plutôt que d’optimiser à posteriori, il est encore mieux d’optimiser son catalogue de services !